— Publié le 2 mars 2017

Au tour du pentathlon moderne

Dopage

Le CIO a annoncé mercredi 1er mars, dans l’un de ses désormais traditionnels communiqués, avoir sanctionné un nouvel athlète après ré-analyse des échantillons des Jeux de Pékin 2008 et Londres 2012. Mais cette fois, surprise, le fautif n’est ni russe ni haltérophile. Viktoriya Tereshchuk, une Ukrainienne de 35 ans, avait été médaillée de bronze en pentathlon moderne aux Jeux de Pékin. Elle devra rendre sa médaille, une nouvelle analyse antidopage ayant révélé la présence dans ses urines de traces de turinabol. La médaille en question devrait prochainement s’envoler vers un pays voisin, la Biélorussie, pour être livrée à la 4ème de l’épreuve olympique, Anastasia Samusevich. Quelques heures après l’annonce du cas positif de Viktoriya Tereshchuk, l’Union internationale de pentathlon moderne (UIPM) s’est fendue à son tour d’un communiqué. Son président, Klaus Schormann, explique qu’il s’agit d’une violation des règles antidopage « hautement regrettable mais très rare » en pentathlon moderne.