L’AGENCE FRANÇAISE DE LUTTE CONTRE LE DOPAGE (AFLD) REND PUBLIC SON
RAPPORT D’ACTIVITÉ POUR L’ANNÉE 2014
PARIS, June 5, 2015
L’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), autorité publique
indépendante instituée en 2006, contribue, dans son champ d’action, à
la réponse apportée par les pouvoirs publics aux attentes d’éthique
et d’équité dans le sport. En recherche constante d’amélioration,
elle a repensé ses stratégies de contrôle antidopage, de manière à
les ajuster de façon pertinente aux pratiques observées. S’appuyant
sur son laboratoire spécialisé, accrédité au plan international,
elle veille également à perfectionner ses méthodes d’analyses, et
contribue ainsi de façon significative à une meilleure détection des
athlètes cherchant à déjouer le code du sport. Parallèlement, l’AFLD
s’investit activement dans la promotion de la santé des sportifs car la
légitimité de la lutte contre le dopage passe aussi par une prise de
conscience des réels dangers d’un recours aux substances et pratiques
dopantes.
L’ensemble de ces actions s’agissant de l’année 2014 est présenté
dans le rapport annuel d’activité de l’AFLD qui vient d’être rendu
public.
Le mot clé de l’année est celui de « _cohérence_ ». L’année
passée a en effet pris en considération l’audit mené par la Cour des
Comptes quant à la gestion interne de l’AFLD et la nécessité de
dégager davantage de ressources propres. Cet impératif a fait l’objet
d’une politique d’intensification des prestations réalisées pour le
compte de tiers, qu’il s’agisse de contrôles ou d’analyses. Le sixième
rang mondial du laboratoire de Châtenay-Malabry en termes de volume
d’analyses vient confirmer l’attractivité et la performance de cette
structure, la pertinence des domaines de recherche ciblés ainsi que sa
compétitivité financière. De même, la hausse du nombre de contrôles
et d’analyses réalisés pour le compte de tiers traduit la qualité des
prestations de l’AFLD et la confiance que les fédérations
internationales portent en elle, dans un contexte où la volonté de
l’Agence reste de privilégier une stratégie qualitative plutôt que
quantitative.
