Montréal, le 26 novembre 2020 – L’Agence mondiale antidopage (AMA) est heureuse d’annoncer que le Liban est devenu le 191e État partie à ratifier la Convention internationale de l’UNESCO contre le dopage dans le sport (Convention de l’UNESCO). Il ne reste désormais que quatre pays dans le monde qui n’ont pas encore ratifié la Convention.
« Je tiens à féliciter le gouvernement libanais pour cette démonstration d’engagement envers la lutte contre le dopage, a déclaré le président de l’AMA, Witold Bańka. La Convention de l’UNESCO permet aux gouvernements du monde entier d’aligner leurs lois et politiques nationales avec le Code mondial antidopage, ce qui crée une synergie entre les règles régissant la lutte contre le dopage dans le sport et les législations nationales. Par conséquent, chaque fois qu’un pays ratifie la Convention, il renforce davantage le système mondial et est une cause de célébration. »
« Presque tous les gouvernements du monde se sont maintenant engagés à soutenir la Convention et il est d’une importance cruciale qu’ils la mettent en œuvre efficacement dans leurs pays respectifs, pour le bien des sportifs du monde entier. Avec l’ajout du Liban, il ne reste qu’une seule nation en Asie et quatre au total dans le monde à signer. Nous continuons de travailler fort pour que les autres le fassent dans un avenir proche, ce qui nous permettra de rassembler ainsi tous les gouvernements du monde dans la protection du sport propre ».
Adoptée le 19 octobre 2005, la Convention est l’instrument juridique par lequel les gouvernements formalisent leur engagement envers la lutte contre le dopage dans le sport. Elle permet aux gouvernements d’harmoniser leurs politiques nationales avec le Code mondial antidopage et de coordonner ainsi les règles régissant la lutte contre le dopage dans le sport et la législation publique. Selon les standards de l’UNESCO, cette Convention a été rédigée, adoptée et ratifiée en un temps record.
