— Publié le 10 mai 2022

L’ICF dévoile la route vers Paris 2024

Canoë-kayak

La série continue. A un peu plus de 800 jours de l’événement, la Fédération internationale de canoë-kayak (ICF) a dévoilé le processus et les règles de qualification pour les Jeux de Paris 2024. Le prochain rendez-vous olympique sera marqué par l’entrée au programme d’une nouvelle discipline, le slalom extrême. Elle remplace deux épreuves de course en ligne, le K1 200 mètres masculin et féminin. En slalom, les compétitions olympiques rassembleront 82 athlètes, soit 40 quotas pour les hommes, autant pour les femmes, plus deux places garanties pour la France en sa qualité de pays-hôte des Jeux. Dans le détail, 42 quotas sont attribués en kayak (masculin et féminin), 34 en canoë (masculin et féminin), et 6 en slalom extrême (masculin et féminin), la majorité des athlètes engagés dans cette nouvelle épreuve étant par ailleurs qualifiée pour le slalom « traditionnel ». Toujours en eaux vives, chaque pays ne peut engager qu’un seul athlète par épreuve. Les championnats du monde de slalom en 2023, prévus du 19 au 24 septembre à Lee Valley, en Grande-Bretagne, serviront de compétition mondiale de qualification pour les Jeux de Paris 2024, en distribuant 15 quotas par sexe en kayak et 12 en canoë. Une place supplémentaire en K1 et C1 hommes et femmes sera attribuée lors des différents championnats continentaux. Pour les trois places de kayak extrême, l’ICF devrait organiser une compétition mondiale de qualification en 2024. Elle concernera les athlètes qui n’auront pas encore obtenu leur qualification dans une autre discipline. Enfin, deux quotas dits « d’universalité » sont prévus pour des pays n’ayant pas pu qualifier d’athlètes lors des compétitions internationales.