Entre Athènes 1896 et Pékin 2022, 982 sites permanents ont été utilisés lors des Jeux olympiques. Selon une étude partagée par le CIO, 86 % d’entre eux sont toujours en activité. Les 33 sites permanents de Tokyo 2020 et les 16 sites permanents de Pékin 2022 continuent de servir aujourd’hui, pour des événements destinés aux communautés locales et aux athlètes de haut niveau, qu’il s’agisse d’activités sportives, culturelles ou récréatives.
« Nous sommes fiers de confirmer que 86 % des sites olympiques restent à ce jour en service. C’est la preuve manifeste de l’héritage à long terme des Jeux, affirme Christophe Dubi, directeur exécutif des Jeux olympiques au CIO. Les résultats sont éloquents : les éditions récentes des Jeux laissent un héritage encore plus solide et plus durable, en faveur des villes hôtes et de leurs communautés. Nous espérons d’ailleurs que chaque nouvelle édition continuera sur cette lancée. »
« En étudiant la manière dont les anciens sites olympiques sont utilisés après les Jeux, nous avons identifié des stratégies visant à optimiser au maximum leur valeur sur le long terme, abonde Marie Sallois, directrice du développement durable au CIO. Une utilisation polyvalente tout au long de l’année permet de maintenir la pertinence et le fonctionnement des installations. En privilégiant l’utilisation de sites existants ou temporaires, et en ne construisant de nouvelles infrastructures que lorsqu’un besoin durable est clairement identifié, les villes hôtes peuvent aligner l’organisation des Jeux avec leurs objectifs de développement. »

