Candidatures - 20/02/2019
Pour les Jeux de 2032, l’Indonésie déclare sa flamme
L’olympisme n’a pas pris une ride sur le continent asiatique. Les Jeux font toujours rêver les états. Peu importe leurs coûts. Après l’Inde et les …
Jean-Claude Killy refait parler de lui. Et il le fait à sa manière, sans langue de bois. Le triple champion olympique de ski alpin aux Jeux de Grenoble en 1968 a profité de la sortie de son coffret autobiographique pour recevoir Le Figaro sur les bords du lac Léman, en Suisse. Une interview au cours de laquelle l’ancien patron des Jeux d’Albertville en 1992 donne son avis sur la préparation des JO de Paris 2024. Il n’épargne personne : « L’organisation du sport en France fait grand souci quand les Jeux arrivent en France. Parce que chacun veut son pré carré, sa voiture avec chauffeur. On est à cinq ans et demi des Jeux, c’est-à-dire demain matin, et il faut deux commandos. Un commando organisationnel et un commando préparation des équipes. Ne sortez pas de là, arrêtez de vous bouffer le nez. Ils veulent tous être chef, cela ne marche pas comme ça. On a les Jeux à Paris, donc il faut se ressaisir très vite. Et monter des systèmes extrêmement nerveux, sans gras, avec des gens totalement engagés pour un résultat défini, et un budget à respecter impérativement. Tout cela est faisable. Et je ne parle pas du Comité d’organisation. Je parle de toutes les entités qui veulent être calife à la place du calife. Le ministère, le CNOSF, la nouvelle agence… Il y en a beaucoup qui ne doivent pas faire un pas en avant mais un en arrière. Et chez nous, on a du mal à ce que les gens se placent derrière.«
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